LIBRE ORGANISATION DE DIFFUSION D’INITIATIVES CINEMATOGRAPHIQUES ET D’ECLECTIQUES EXPRESSIONS
Présentation
Tout le monde n’est pas créateur, tous les humains ne sont pas des génies, des artistes, ou de talentueux inventeurs. La société voudrait que tous et chacun soient des Michel-Ange à leurs heures perdues, ou pour le temps de la retraite… et le reste du temps, qu’il soit consacré au « travail ».
Si des derniers millénaires, ce qui subsiste des civilisations passées, ce sont les œuvres d’art, c’est souvent une tragédie de voir la vie des artistes lorsqu’ils n’ont pas de mécènes : de Rabelais à Baudelaire, de Mozart à Schubert et Beethoven, de Léonard de Vinci à Pierre et Marie Curie… la créativité des génies est trop souvent limitée par une insécurité financière. Lorsqu’un mécène s’annonce, le génie peut s’exprimer de tout son for.
Jules Verne, sans Hetzel, serait peut-être un écrivain sans livres, fautes d’avoir les moyens d’être publié : les talentueux souffrent de leur vivant, dans une survie, et la gloire post mortem a peu de sens au regard des manques pour notre monde.
L’art est « aussi » un commerce. Que l’art soit donc tout d’abord une chance pour l’humanité. L’art existe par les métiers d’art, et nécessite — au-delà du talent — de l’apprentissage… donc du temps et des moyens : une sécurité.
L’art est rentable aussi pour les porteurs d’affaires, et le serait davantage s’ils acceptaient de respecter les artistes de leur vivant, en les considérant dans leur propre gestion de l’espace et du temps. Pour exemple : Michel Ange a eu la « chance » d’avoir quatre années à sa disposition, ainsi qu’une équipe, pour réaliser le David.
Trouver, former et veiller sur les génies…
LODICÉE prend tout son sens alors. Des espaces à naître, qui commencent par la mise en rentabilité d’œuvres déjà réalisées ou en cour de réalisation, afin d’amorcer la pompe financière